Dans le théâtre de Leto, le futur est assez clairement dessiné. Le Sentier d'Or règne toujours et la descendance des Atréides semble se battre pour exister autrement que selon les desseins du "Dieu Leto".
On retrouve encore une fois des personnages attachants, comme Moneo le pauvre majordome courant à droite et à gauche, tremblant dans sa vieille carcasse ou le Ghola Duncan en proie à la vacuité de sa vie.
A contrario, j'ai été terriblement "gavé" par le personnage de Leto. Son côté tout puissant et mystique a écrasé toute ma lecture… Côté sur-cheaté qu'on sentait déjà à la fin du tome 3 d'ailleurs. Les leçons qu'il donne à ceux qui l'entourent et les remarques sur Duncan deviennent un peu lourdres, passé une partie de livre… Et si l'intervention de Hwi a su ranimer un peu ma lecture, je retiens des 200 dernières pages du livre, un relant pathétique (j'parle de Leto) et hyper attendu. Je passe en spoile au cas où, mais :
l'apparition de Hwi, laisse tout de suite deviner la tragédie latente : sa mort + la mort de Leto.
Un p'tit air de Romeo & Juliette entre eux, avec en bonus l'apparition d'un Duncan transi', mais on sait pas trop pourquoi … ? Enfin si on le comprend au bout d'un moment, mais wtf dans la manière dont c'est déroulé ?!
Bef
A voir ce qui se passera du côté des hérétiques.