La quatrième de couverture donne sacrément envie de s'imaginer des courses poursuites entre fauteuils roulants et zombies. Mauvaise pioche.
Monsieur Clavel renouvelle un peu le genre en changeant les acteurs qui affrontent nos chers et tendres zombies. Fluide, l'histoire se laisse "dévorer" grâce à un rythme dynamique. Pas le temps de faire la sieste malgré les 90 printemps du personnage principal. Fabien Clavel réussit à vous faire gambader dans Paris en accompagnant ce groupe qui dans tous films du même genre aurait disparu lors des premières minutes.
Cependant il n'y aucune révolution du genre et certains passages peuvent être totalement déconcertants.
Un livre a avoir dans sa bibliothèque sans aucun doute mais pas forcément sur l'étagère de vos livres préférés.