Magnifiquement illustré par Ruth Brown dont les dessins réalistes sont un enchantement pour le lecteur, L’homme aux oiseaux est un conte à ne pas laisser entre toutes les mains. Les plus jeunes et les plus sensibles ne comprendront peut-être pas la fin quelque peu amère voir cruelle.
Melvin Burgess signe un texte poétique où les bonnes intentions du jeune héros sont vite ensevelies sous des excuses… Mais on ne rigole pas avec la liberté et Ivan apprendra à ses dépens qu’il faut toujours tenir ses promesses. Le sentiment de malaise est palpate dès les premières lignes et ne peut laisser indifférent, laissant le lecteur sur une fin teintée de noir… sans demi-mesure.
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