L'actualité sur L'Homme Moïse et la religion monothéiste
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Le 8 nov. 2024
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“L'athée le plus juif ou le juif le plus athée, je ne saurais dire mais à la fin du périple le voici qui nous laisse avec un midrash remarquable. ”
Le 20 juin 2024
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1939 • livre de Sigmund Freud
Résumé : Avec L'Homme Moïse et la religion monothéiste, Freud signe en 1939 son dernier livre. Après Totem et Tabou (1913) et l'hypothèse du meurtre originel, il est aux prises une fois de plus avec une figure paternelle qui cette fois porte un nom, Moïse, et qui s'inscrit dans la lignée de ses propres origines juives. L'ouvrage se présente comme une enquête historique sur la véritable identité du père du judaïsme et sur l'éventualité de sa fin tragique, mis à mort par son peuple. Sa théorie du fait religieux développe l'hypothèse du parricide primitif. Il met finalement en perspective toute l'histoire de la religion biblique et rend compte de la nécessité du passage du judaïsme au christianisme. Dans ce qu'il appelle lui-même son "roman historique", Freud répond indirectement à l'antisémitisme de son temps. En inventant au peuple juif une origine déicide, il lui prête sa propre irréligiosité, et il s'identifie à lui. Les Juifs et les psychanalystes seraient haïs pour les mêmes raisons : ils ont osé tuer le père. --Emilio Balturi
1939 • livre de Sigmund Freud
Résumé : Avec L'Homme Moïse et la religion monothéiste, Freud signe en 1939 son dernier livre. Après Totem et Tabou (1913) et l'hypothèse du meurtre originel, il est aux prises une fois de plus avec une figure paternelle qui cette fois porte un nom, Moïse, et qui s'inscrit dans la lignée de ses propres origines juives. L'ouvrage se présente comme une enquête historique sur la véritable identité du père du judaïsme et sur l'éventualité de sa fin tragique, mis à mort par son peuple. Sa théorie du fait religieux développe l'hypothèse du parricide primitif. Il met finalement en perspective toute l'histoire de la religion biblique et rend compte de la nécessité du passage du judaïsme au christianisme. Dans ce qu'il appelle lui-même son "roman historique", Freud répond indirectement à l'antisémitisme de son temps. En inventant au peuple juif une origine déicide, il lui prête sa propre irréligiosité, et il s'identifie à lui. Les Juifs et les psychanalystes seraient haïs pour les mêmes raisons : ils ont osé tuer le père. --Emilio Balturi
1939 • livre de Sigmund Freud
Résumé : Avec L'Homme Moïse et la religion monothéiste, Freud signe en 1939 son dernier livre. Après Totem et Tabou (1913) et l'hypothèse du meurtre originel, il est aux prises une fois de plus avec une figure paternelle qui cette fois porte un nom, Moïse, et qui s'inscrit dans la lignée de ses propres origines juives. L'ouvrage se présente comme une enquête historique sur la véritable identité du père du judaïsme et sur l'éventualité de sa fin tragique, mis à mort par son peuple. Sa théorie du fait religieux développe l'hypothèse du parricide primitif. Il met finalement en perspective toute l'histoire de la religion biblique et rend compte de la nécessité du passage du judaïsme au christianisme. Dans ce qu'il appelle lui-même son "roman historique", Freud répond indirectement à l'antisémitisme de son temps. En inventant au peuple juif une origine déicide, il lui prête sa propre irréligiosité, et il s'identifie à lui. Les Juifs et les psychanalystes seraient haïs pour les mêmes raisons : ils ont osé tuer le père. --Emilio Balturi
1939 • livre de Sigmund Freud
Résumé : Avec L'Homme Moïse et la religion monothéiste, Freud signe en 1939 son dernier livre. Après Totem et Tabou (1913) et l'hypothèse du meurtre originel, il est aux prises une fois de plus avec une figure paternelle qui cette fois porte un nom, Moïse, et qui s'inscrit dans la lignée de ses propres origines juives. L'ouvrage se présente comme une enquête historique sur la véritable identité du père du judaïsme et sur l'éventualité de sa fin tragique, mis à mort par son peuple. Sa théorie du fait religieux développe l'hypothèse du parricide primitif. Il met finalement en perspective toute l'histoire de la religion biblique et rend compte de la nécessité du passage du judaïsme au christianisme. Dans ce qu'il appelle lui-même son "roman historique", Freud répond indirectement à l'antisémitisme de son temps. En inventant au peuple juif une origine déicide, il lui prête sa propre irréligiosité, et il s'identifie à lui. Les Juifs et les psychanalystes seraient haïs pour les mêmes raisons : ils ont osé tuer le père. --Emilio Balturi
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1939 • livre de Sigmund Freud
Résumé : Avec L'Homme Moïse et la religion monothéiste, Freud signe en 1939 son dernier livre. Après Totem et Tabou (1913) et l'hypothèse du meurtre originel, il est aux prises une fois de plus avec une figure paternelle qui cette fois porte un nom, Moïse, et qui s'inscrit dans la lignée de ses propres origines juives. L'ouvrage se présente comme une enquête historique sur la véritable identité du père du judaïsme et sur l'éventualité de sa fin tragique, mis à mort par son peuple. Sa théorie du fait religieux développe l'hypothèse du parricide primitif. Il met finalement en perspective toute l'histoire de la religion biblique et rend compte de la nécessité du passage du judaïsme au christianisme. Dans ce qu'il appelle lui-même son "roman historique", Freud répond indirectement à l'antisémitisme de son temps. En inventant au peuple juif une origine déicide, il lui prête sa propre irréligiosité, et il s'identifie à lui. Les Juifs et les psychanalystes seraient haïs pour les mêmes raisons : ils ont osé tuer le père. --Emilio Balturi
1939 • livre de Sigmund Freud
Résumé : Avec L'Homme Moïse et la religion monothéiste, Freud signe en 1939 son dernier livre. Après Totem et Tabou (1913) et l'hypothèse du meurtre originel, il est aux prises une fois de plus avec une figure paternelle qui cette fois porte un nom, Moïse, et qui s'inscrit dans la lignée de ses propres origines juives. L'ouvrage se présente comme une enquête historique sur la véritable identité du père du judaïsme et sur l'éventualité de sa fin tragique, mis à mort par son peuple. Sa théorie du fait religieux développe l'hypothèse du parricide primitif. Il met finalement en perspective toute l'histoire de la religion biblique et rend compte de la nécessité du passage du judaïsme au christianisme. Dans ce qu'il appelle lui-même son "roman historique", Freud répond indirectement à l'antisémitisme de son temps. En inventant au peuple juif une origine déicide, il lui prête sa propre irréligiosité, et il s'identifie à lui. Les Juifs et les psychanalystes seraient haïs pour les mêmes raisons : ils ont osé tuer le père. --Emilio Balturi