Dans une sorte de longue logorrhée, la narratrice évoque sa relation homosexuelle destructrice de quelques mois avec Marie-Christine. Crise de larmes, pleurs, supplications sont le quotidien de leur relation.
Phrases déstructurées et répétitions montrent la folie de la narratrice. Cette folie est une conséquence, selon la narratrice, de la relation incestueuse qu’elle a eue avec son père.
Je n’ai pas accroché avec ce roman. Ce n’est pas tant le fond, finalement assez peu subversif, qui m’a gêné mais plutôt la forme. Je n’ai pas trouvé la folie bien rendue. Aussi, tant qu’à lire une logorrhée, je conseille plutôt Olimpia de Céline Minard.