Une belle dose de génie et un grosse dose de foutraque, entre l'expérience littéraire et le vomitif, quelque part en équilibre précaire entre le génie et la folie, David Foster Wallace s'est amusé à perde son lecteur tout en le tenant en haleine.
Le gars te drague comme un dealer, il te donne ta plus belle dose avec de scènes magnifiques et te trouble en te proposant de suite après un produit qui te rend si confus, si perdu, que tu te vois serrer des dents mais au chapitre suivant il te harponne et toi, comme un junkie tu continues, tu le suis, aveuglé.
Et au final de ta gueule de bois tu ne sais pas si tu as vraiment aimé, mais tu sais que tu as vraiment pris ton pied par moment.
Putain de dealer...