Etrange impression que celle laissée par ce roman qui n'est pas parvenu à m'intéresser au-delà des 50 premières pages, Marc Dugain lui-même semblant par moments manquer d'implication dans l'intrigue et d'empathie pour ses personnages. Les correcteurs d'édition de Gallimard ne paraissent pas avoir été plus convaincus que moi par cette histoire, eux qui à la page 68 du livre n'ont pas su voir que Maria, personnage pourtant central du roman, devenait inexplicablement Anna le temps d'une phrase. En petite forme en 2010, Marc Dugain a su se ressaisir quelque temps plus tard avec la passionnante trilogie de L'emprise