Un télépathe reclu, névrosé, tourmenté, dont la vie pourri est gaché par son don, qui progressivement, disparait.

Ce faux bouquin de SF, très sixties dans ses personnages et son background, est en fait le roman le plus psychologique et le plus intime de Silverberg. Une grosse claque : c'est touchant, c'est douloureux, c'est drole et c'est fataliste. O-BLI-GA-TOIRE.
engy
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le 21 juin 2010

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