Alain posture
Cela commence comme un I vitelloni français, avec deux jeunes qui semblent déterminés à secouer leur ennui de toutes les manières possibles, deux jeunes détestables, pitoyables. Et puis, cela dévie,...
Par
le 15 nov. 2024
5 j'aime
2
Il y a une veine d'Arsène Lupin qui s'inspire du récit d'exploration, où le célèbre gentleman découvre des trésors oubliés depuis longtemps. Ce sont généralement des récits très plaisants, et La barre-y-va ne déroge pas à la règle, bien que par rapport aux autres, il soit plutôt en mode mineur.
Un récit plaisant donc qui déploie une atmosphère sombre, trouée ça et là par les traits d'humour et l'inextinguible bonne humeur du sieur Lupin. C'est que ce dernier n'aura jamais été aussi bon enfant, à se moquer de l'inénarrable Béchoux, présent depuis les nouvelles de l'agence Barnett et cie. Maurice Leblanc s'amuse manifestement des facéties de son personnage.
La barre-y-va offre ainsi un spectacle rare, le spectacle d'un auteur qui rajeunit au fur et à mesure que passent les années.
Créée
le 12 août 2024
Critique lue 3 fois
Du même critique
Cela commence comme un I vitelloni français, avec deux jeunes qui semblent déterminés à secouer leur ennui de toutes les manières possibles, deux jeunes détestables, pitoyables. Et puis, cela dévie,...
Par
le 15 nov. 2024
5 j'aime
2
Le fugitif est un sympathique polar d'action. La prestation de Tommy Lee Jones relève l'ensemble. Le grand spectacle est de qualité, notamment la scène du train, on a donc ce qu'on vient chercher...
Par
le 23 sept. 2024
5 j'aime
Travail, famille, patrie, scandait le gouvernement de Vichy (et Macron, aussi). De Goupi mains rouges, réalisé pendant l'occupation, on aurait pu attendre un condensé de ce programme. En parlant...
Par
il y a 6 jours
4 j'aime