Critique de La Danseuse d'Izu par Froguette
5 nouvelles d'un raffinement cruel qui se lisent trop vite. Encore, s'il vous plait.
Par
le 7 nov. 2010
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Ce sont cinq nouvelles mélancoliques et douces, délicates et pudiques, que nous offre Yasunari Kawabata. L’auteur du très beau roman Les belles endormies, nous entraîne ici à la rencontre de personnages souvent solitaires, en quête d’une élégance poétique supérieure. Un raffinement qui met en lumière avec beaucoup de délicatesse la cruauté et le raffinement du Japon des années 30-40 et de ses habitants. Une ode à la contemplation et à la lenteur, à la recherche d’un bonheur parfois illusoire, qui se construit toujours entre réalité et chimères.
Ainsi, même si les nouvelles sont inégales, c’est avec un vrai plaisir que l’on renoue avec l’écriture simple mais évocatrice de l’auteur, sa vision très poétique du monde et son rapport toujours délicat des hommes au monde qui les entoure. Une jolie découverte.
http://leblogdeyuko.wordpress.com/2016/04/08/la-danseuse-dizu-de-yasunari-kawabata/
Créée
le 8 avr. 2016
Critique lue 352 fois
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