"Nouveaux contes moraux", j'us du le voir venir...
Alors outre le titre qui laisse présager d'un essais alors qu'il s'agit d'une assez longue nouvelle, je me suis fait avoir...
Mais le livre en sois... N'est pas Wilde du passé qui veux.
En sois, le livre est au deux tiers une histoire d'amour, qui sans être vilaine ne m'a pas spécialement ému, et un tiers d'oppression systémique !
EN 1800 !
Comme quoi les mouvements modernes n'ont rien inventé...
Alors attention, ce que je critique, n'est pas de penser que les femmes sont systématiquement exploité (même si je reviendrais dessus), mais surtout de la façon dont cela est fait...
C'est bourrin, c'est unilatéral, c'est d'un con... C'est vraiment, une femme qui écrit et BAM ! Paria de la société... Sauf que ce n'est pas ça. Vraiment. C'est un processus bien plus subtile et complexe, que l'auteur ne peut pas saisir de toute évidence...
Parce que si le plus grand malheur d'une femme qui écrit, c'est de se faire critiquer, par des critiques quelque fois injuste, et qu'on vienne lui faire de la conversation intelligente, et bien je suis très heureux d'être une femme résultat ?
L'auteur mélange tout, le sexe, l'epoque, la classe social, le contexte, ect... Alors je ne dis pas que c'était facile d'être une femme écrivaine en france en 1800, mais le livre ne saisis rien de ça, on dirais juste une fanatique avec plus de mépris qu'il est possible d'en porter...
Et comme énoncé avant, Sade, Zola, même un peu Rabelais, ils ont subit les mêmes foudre qu'elle réserve uniquement aux femmes...
" « Avez-vous bien des ennemis ? » Voilà ce qui préoccupe Balzac, dans la lettre qu’il écrit à son confrère Eugène Sue le 18 novembre 1832. Sue répond sur le même ton : « Les ennemis ? Oh ! très bien, parfaits et en quantité. »"(Une histoire des haines d'écrivains en parle)
Je le redis, mais c'est pas terrible sinon, parce que c'est extrêmement lourds, ca gâche un plaisir de lecture que je n'avais pas spécialement
Je pense qu'il vaux mieux éviter...