"Mais sans doute ça avait été pire dans les anciens temps, ils étaient contents de le croire. En autre, ils étaient esclaves alors, mais maintenant ils étaientMais sans doute ça avait été pire dans les anciens temps, ils étaient contents de le croire. En autre, ils étaient esclaves alors, mais maintenant ils étaient libres, ce qui changeait tout, ainsi que Brille-Babil ne manquait jamais de le souligner." (117)
"Les animaux trouvaient plaisir à ses célébrations. Ils étaient confortés dans l'idée d'être leur propre maître, après tout, et ainsi devrait à leur propre bien. Ainsi, grâce au chant et défilé, et au chiffre des sommes de Brille-Babil, et au fusil qui donne et au cocorico du coquelet et au drapeau au vent, il pouvait oublier, un temps, qu'ils avaient le ventre creux." (120)
"Mais de toutes les belles choses dont boule de neige avait fait rêver les animaux — la semaine de 3 jours, les installations électrique, l'eau courante chaude et froide —, on ne parlait plus. Napoléon avait dénoncé ses idées comme contraire à l'esprit de l'animalisme. Le bonheur le plus vrai déc Napoléon avait dénoncé ses idées comme contraire à l'esprit de l'animalisme. Le bonheur le plus vrai déclarait-il, réside dans le travail opiniâtre et l'existence frugale." (133)
"On nous dit qu'en quelques façons la faire me s'était enrichi sans rendre les animaux plus riches tirer hormis, assurément les cochons et les chiens. C'était peut-être, en partie, parce qu'il y avait tellement de cochons est tellement de chiens. Et on ne pouvait pas dire qu'il ne travaillait pas, travaillant à leur manière. (...) Malgré tout, cochon et chien ne produisait pas de nourriture par leur travail, et ils étaient en grand nombre et pourvu de bon appétit." (133-134)
"Quand autres [ni cochons ni chiens], autant qu'ils le pouvaient savoir, leur vie était comme elle avait toujours été. Ils avaient le plus souvent faim, dormaient sur la paille, buvaient l'eau de l'abreuvoir, labourraient les champs. Il souffraient du froid l'hiver, et l'été des mouches. Parfois les plus âgés fouillaient dans le flou des souvenirs, essayons de savoir si, au premier jour après le soulèvement, et juste après l'expropriation de Johns, la vie avait été meilleure au pire qu'à présent. Ils ne se rappelaient plus" (134)