L'actualité sur La Formation de l'acteur
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1936 • livre de Constantin Stanislavski
Résumé : "Ce livre, ce grand livre, est une reconsidération totale de l'acteur. Il dépouille l'interprète de ses vanités. Il le dévêt de ses clinquants. Il analyse sans pitié ses faux prestiges. Il détruit le cabotinage. Les milliers de spectateurs qui vont au théâtre le soir, à New York comme à Moscou, à Rome comme à Paris, à Berlin comme à Londres, ignorent que ce qu'ils admirent ici ou là sur la scène, depuis le jeu de l'acteur jusqu'à la tenue des groupes, vient souvent de la leçon de Stanislavski. Il n'est pas de comédien authentique qui n'ait, un jour ou l'autre, emprunté sciemment ou non quelques-uns des sentiers de cette analyse. " (Jean Vilar)
Le 18 sept. 2024
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1936 • livre de Constantin Stanislavski
Résumé : "Ce livre, ce grand livre, est une reconsidération totale de l'acteur. Il dépouille l'interprète de ses vanités. Il le dévêt de ses clinquants. Il analyse sans pitié ses faux prestiges. Il détruit le cabotinage. Les milliers de spectateurs qui vont au théâtre le soir, à New York comme à Moscou, à Rome comme à Paris, à Berlin comme à Londres, ignorent que ce qu'ils admirent ici ou là sur la scène, depuis le jeu de l'acteur jusqu'à la tenue des groupes, vient souvent de la leçon de Stanislavski. Il n'est pas de comédien authentique qui n'ait, un jour ou l'autre, emprunté sciemment ou non quelques-uns des sentiers de cette analyse. " (Jean Vilar)
1936 • livre de Constantin Stanislavski
Résumé : "Ce livre, ce grand livre, est une reconsidération totale de l'acteur. Il dépouille l'interprète de ses vanités. Il le dévêt de ses clinquants. Il analyse sans pitié ses faux prestiges. Il détruit le cabotinage. Les milliers de spectateurs qui vont au théâtre le soir, à New York comme à Moscou, à Rome comme à Paris, à Berlin comme à Londres, ignorent que ce qu'ils admirent ici ou là sur la scène, depuis le jeu de l'acteur jusqu'à la tenue des groupes, vient souvent de la leçon de Stanislavski. Il n'est pas de comédien authentique qui n'ait, un jour ou l'autre, emprunté sciemment ou non quelques-uns des sentiers de cette analyse. " (Jean Vilar)
1936 • livre de Constantin Stanislavski
Résumé : "Ce livre, ce grand livre, est une reconsidération totale de l'acteur. Il dépouille l'interprète de ses vanités. Il le dévêt de ses clinquants. Il analyse sans pitié ses faux prestiges. Il détruit le cabotinage. Les milliers de spectateurs qui vont au théâtre le soir, à New York comme à Moscou, à Rome comme à Paris, à Berlin comme à Londres, ignorent que ce qu'ils admirent ici ou là sur la scène, depuis le jeu de l'acteur jusqu'à la tenue des groupes, vient souvent de la leçon de Stanislavski. Il n'est pas de comédien authentique qui n'ait, un jour ou l'autre, emprunté sciemment ou non quelques-uns des sentiers de cette analyse. " (Jean Vilar)
1936 • livre de Constantin Stanislavski
Résumé : "Ce livre, ce grand livre, est une reconsidération totale de l'acteur. Il dépouille l'interprète de ses vanités. Il le dévêt de ses clinquants. Il analyse sans pitié ses faux prestiges. Il détruit le cabotinage. Les milliers de spectateurs qui vont au théâtre le soir, à New York comme à Moscou, à Rome comme à Paris, à Berlin comme à Londres, ignorent que ce qu'ils admirent ici ou là sur la scène, depuis le jeu de l'acteur jusqu'à la tenue des groupes, vient souvent de la leçon de Stanislavski. Il n'est pas de comédien authentique qui n'ait, un jour ou l'autre, emprunté sciemment ou non quelques-uns des sentiers de cette analyse. " (Jean Vilar)
1936 • livre de Constantin Stanislavski
Résumé : "Ce livre, ce grand livre, est une reconsidération totale de l'acteur. Il dépouille l'interprète de ses vanités. Il le dévêt de ses clinquants. Il analyse sans pitié ses faux prestiges. Il détruit le cabotinage. Les milliers de spectateurs qui vont au théâtre le soir, à New York comme à Moscou, à Rome comme à Paris, à Berlin comme à Londres, ignorent que ce qu'ils admirent ici ou là sur la scène, depuis le jeu de l'acteur jusqu'à la tenue des groupes, vient souvent de la leçon de Stanislavski. Il n'est pas de comédien authentique qui n'ait, un jour ou l'autre, emprunté sciemment ou non quelques-uns des sentiers de cette analyse. " (Jean Vilar)
Personnellement j'ai surtout été influencé par des gens formé par l'école Lecoq. Sinon j'ai suivis un stage de méthode Stanislavski et j'ai trouvé celà pationnant. J'avais lu la formation de l'acteur avant et l'aspect c'est le système et rien d'autre m'avait rebuté, ensuite j'ai lu ma vie dans l'art et j'ai découvert un Stanislavski différent qui cherche tatonne essaye se trompe souvent réussit sans savoir pourquoi puis se taule. Celà me l'a rendu humain et j'ai vu dans la formation de l'acteur ...
Le 15 déc. 2023
Vous êtes décidement très en colère, mais une carrière artistique se construit par des révoltes des refus (et des convictions aussi ) des doutes qu'on fait taire par inconscience et nécessité. Par l'expression d'une nécessité vitale. Aussi envoyer balader les méthodes et concepts est dans l'ordre d'une nécessité mais il ne faut pas être obtus, j'ai longtemps cru périodiquement trouvé la pierre philosophale en matière de création artistique, j'ai jurer par le masque, par le clown. La mécanique m...
Le 8 mars 2024
Voir les 9 commentaires
a attribué 8/10 au livre
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1936 • livre de Constantin Stanislavski
Résumé : "Ce livre, ce grand livre, est une reconsidération totale de l'acteur. Il dépouille l'interprète de ses vanités. Il le dévêt de ses clinquants. Il analyse sans pitié ses faux prestiges. Il détruit le cabotinage. Les milliers de spectateurs qui vont au théâtre le soir, à New York comme à Moscou, à Rome comme à Paris, à Berlin comme à Londres, ignorent que ce qu'ils admirent ici ou là sur la scène, depuis le jeu de l'acteur jusqu'à la tenue des groupes, vient souvent de la leçon de Stanislavski. Il n'est pas de comédien authentique qui n'ait, un jour ou l'autre, emprunté sciemment ou non quelques-uns des sentiers de cette analyse. " (Jean Vilar)
1936 • livre de Constantin Stanislavski
Résumé : "Ce livre, ce grand livre, est une reconsidération totale de l'acteur. Il dépouille l'interprète de ses vanités. Il le dévêt de ses clinquants. Il analyse sans pitié ses faux prestiges. Il détruit le cabotinage. Les milliers de spectateurs qui vont au théâtre le soir, à New York comme à Moscou, à Rome comme à Paris, à Berlin comme à Londres, ignorent que ce qu'ils admirent ici ou là sur la scène, depuis le jeu de l'acteur jusqu'à la tenue des groupes, vient souvent de la leçon de Stanislavski. Il n'est pas de comédien authentique qui n'ait, un jour ou l'autre, emprunté sciemment ou non quelques-uns des sentiers de cette analyse. " (Jean Vilar)