La Huitième Couleur par Julien Camblan
En ce qui concerne Pratchett, je me sens généralement à contrepied de la majorité. Je suis entouré de fanboys, faut préciser.
Bref, je n'ai même pas réussi à arriver jusqu'au bout de La Huitième couleur et je n'ai pas pris la peine d'en acheter un autre.
Je précise que je l'ai lu en français, ça fait sans doute une différence, mais je ne peux pas me permettre l'anglais pour ce style de livres.
L'humour n'est pas déplaisant mais ne m'a pas retourné non plus, tout juste arraché un sourire en coin. C'est proche de l'humour des Monty Pythons (le jeu des inspirations n'y est pas pour rien, on est d'accord) mais il n'y a pas la force de l'image. Au final, les jeux de mots à répétitions, le vocabulaire trop particulier et la logique parfois bien tordue du scénario a eu raison de moi.
Pratchett est sans doute un écrivain de talent mais je suis totalement hermétique à son style.