Ce recueil est composé de trois nouvelles sur le retour du disparu, en particulier, aujourd'hui je vous présente La Mort d'Olivier Bécaille, une nouvelle très intéressante.
Cette nouvelle exprime différentes sensations, que Zola, par son réalisme et son naturalisme transmet très bien au lecteur, d'abord la sensation d'enfermement, dès l'intrigue celle-la est ressenti avec une puissance très élevée, ensuite nous aurons la prise de conscience de l'enfermement qui mèneront à l'angoisse, Olivier Bécaille s'imagine dans un train bloqué dans un tunnel et dont les deux extrémités sont bouchées, où bien-sur la question du rêve apparaitra. Il s'en suit de la délivrance du héro, et son retour à la vie.
Il faut tout de même retenir les sensations que Zola parvient toujours à nous transmettre, par son génie du naturalisme et du réalisme, nous avons ici les sensations de la souffrance, du manque, de l'oublie, de l’inquiétude.
La frustration de ne pouvoir agir, est implacable, les sentiments sont vrais et sincères, nous suivons cet homme comme si nous avions envie de le délivrer de cette terrible affaire.
Pour résumer,
Un samedi matin, Marguerite la femme d’Olivier découvre le corps de son mari inconscient. Mais celui-là est demi-conscient, paralysé, il voudrait hurler qu’il est en vie, mais il est impuissant face à ses envies, il assiste à toute la scène depuis le début de son inconscience, les pleurs de sa femme, l’arrivé de sa voisine alerté par les sanglots de Marguerite. La voisine décida d’appeler un voisin ; Monsieur Simoneau qui se charge de tout. Olivier espère l’arrivé du médecin qui prouverait qu’il n’est pas mort, mais celui-ci, approuve sa mort.
Monsieur Simoneau et le fils d’Olivier se charge d’emmener Marguerite dans la chambre d’à côté, pour qu’elle n’assiste pas à ce drame, mais celle-ci éclate en sanglots et ce débat en s’accrochant au meuble.
Quand les deux hommes réussissent à emmener la femme d’Olivier, dans la chambre, la bière arriva. Olivier perd tout espoir lorsqu’il fit transférer dans la bière toujours conscient, mais incapable de sortir le moindre bruit, ou même le moindre geste, il entendit le bruit du marteau enfonçant les clous, pour refermer le cercueil. Il fit transporter jusqu’au cimetière. Dans le fond de sa tombe il cherche à se débattre, il hurle, tape ses pieds contre sa tombe, mais personne n’entendit.
Une nuit, trouvant un clou mal vissé, il arriva à sortir de sa tombe, il décida de rentrer chez lui seul, et fut un malaise lors du trajet, un vieux médecin le retrouva et l’emmena à l’hôpital, où il y passa trois semaines.
Quand il sortit il se rendit à un bar près de chez lui, où il retrouva sa voisine, il se cacha derrière un journal et écouta les commérages de sa voisine, il apprit que sa femme préparée sa nuit de noce avec son voisin.
Il fut déboussolé.