J'avais terminé mon billet concernant le premier volume en notant qu'il n'y avait pas "mais" jusqu'alors. Je pourrais poursuivre celui sur le deuxième en établissant le même constat : L'enfant de poussière était assez irréprochable, La Peste et la Vigne l'est également. Malgré un trou d'un an entre la lecture des deux romans, j'ai replongé sans peine dans la suite des aventures de Syffe, que j'ai retrouvé avec un plaisir total. Depuis la fin du premier volume, les années ont passé. Le roman continue à dérouler le fil des souvenir du narrateur qui d'enfant est devenu adolescent. Les décors sont toujours aussi somptueux, l'intrigue aussi fluide, l'action aussi bien menée, les thématiques aussi subtiles, la langue aussi riche et les personnages aussi nuancés et solides, Syffe comme les nombreux personnages qui gravitent autour de lui.
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