Si j'ai globalement apprécié La Pierre et le Sabre et La Parfaite Lumière j'avoue mal comprendre une note aussi élevée.
Tout dans ces lignes se veut simpliste et répétitif, c'est comme lire le Shuǐ hǔ Zhuàn qui est quant à lui un agrégat de contes populaires du moyen-âge chinois sauf que Yoshikawa nous écrit du le vingtième siècle, on ne peut pas être aussi indulgent avec la culture écrite qu'avec la culture orale moyenâgeuse !
Après je ne l'accable pas non plus, l'écriture de la Pierre et le Sabre a me semble-t-il été écrit en fragments pour une diffusion par épisode dans un journal à une période de fort rebond nationaliste où il convenait de rabâcher la supériorité des valeurs nippones.