La Planète des singes ce roman que j'avais très envie de lire, et que je commence enfin. Au début je me dis oui bon de toute façon à cause d'un épisode des Simpsons, je connais le twist final. Ca va me gâcher ma lecture...
Il n'en fut rien.
C'est l'histoire de 3 hommes qui partent sur une autre planète, et sont nous sommes immédiatement plongés dans ce monde. Ce qui est géniale c'est que l'on découvre cette nouvelle planète en même que Ulysse Mérou et ses deux compères. On est tout d'abord stupéfait pas les habitants de cette planète, puis vint l'apparition des singes.
Si certains traiteront les singes de méchants, il n'en n'est absolument rien. Les singes ne sont pas méchants, oui il tues des humains comme nous nous tuons les animaux. Oui il font des expérience sur les humains, comme nous nous faisons avec les animaux.
Oui, pour évoluer une espèce doit en tuer une autre et c'est le sujet qu'aborde Pierre Boulle. Et il explique très bien ce problème, ici notre personnage principal Ulysse est du coté de l'être inférieur. On a peur pour lui, mais pourtant nous faisons bien ça avec les animaux. Il réussira à attirer l'attention, comme quand un animal nous prouve qu'il est plus intelligent que ses congénères.
J'ai réussi à m'attacher aux personnages, malgré que les singes font des choses horribles avec les humains, j'ai réussi à m'attacher à eux, comme Ulysse éprouve une certaine forme de respect pour eux, au bout d'un moment. Et au final quand je parle des personnages est que je peux vraiment les juger ? Non, c'est vraiment dur de parler d'eux.
Ah et cette fin.... justement au début de ma critique, je disais m'être fait spoiler mais finalement non, la fin du roman et du film sont bien différentes.
Et donc la fin du roman.... ouah, je ne sais pas comment, on ne pas être surpris en la lisant... Elle est incroyable, c'est un twist grandiose tantôt plus qu'il est final et qu'il permet de faire une fin ouverte. Du coup toutes les interrogations posés sans réponses lors du récit le resteront.
C'est à nous lecteurs que la réponse appartient.
Un grand bravo à Pierre Boulle pour ce chef-d'œuvre.