Lehoucq et Steyer entendaient analyser la dimension scientifique de quelques exemples du cinéma de genre. Le but de la manœuvre n'était clairement pas de pointer du doigt les incohérences des films qui n'avaient pas les moyens d'étaler leur science - même si les auteurs, armés d'un humour certain, ne se privent pas de se moquer gentiment de tel film qui multiplie les maladresses ou de tel autre qui ne s’embarrasse pas de vraisemblance - mais bel et bien d'inviter le lecteur à mieux comprendre les sujets abordés. Ainsi, en quatre grandes parties, des trous noirs d'Interstellar aux aliens de Premier contact en passant par la vie sur Mars ou l'anatomie des Kaijūs, ils joignent expertise scientifique et septième art pour analyser des contenus, s'interroger sur des concepts ou approfondir des théories.
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