La última erranza regroupe tous les contes de Joaquín Gallegos Lara.
Sensible aux conditions de vie du prolétariat urbain, l'auteur étaye sa réflexion sociale par un sens aigu de l'observation qui caractérise toute son oeuvre. Il incarne le romancier de Guayaquil des années 30 et en est le témoin privilégié au travers d'une écriture fortement empreinte de réalisme social.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste “Ordenar bibliotecas es ejercer de un modo silencioso el arte de la crítica” [Borges]
Créée
le 2 mai 2022
Critique lue 16 fois
2 j'aime
Du même critique
1842, Heine revient. Treize ans d'exil loin de l'Allemagne et ce retour aux sources pour dire toute la complexité de la relation entre les juifs et ce pays qui leur a permis de donner toute leur...
Par
le 20 sept. 2021
9 j'aime
2
D'une délicatesse vivifiante, Le voyage à Nuremberg est un pur concentré de Hesse. Deux mois de voyage pour un saut de puce du Tessin à Nuremberg avec quelques conférences littéraires en toile de...
Par
le 28 avr. 2022
8 j'aime
3
Non, il ne s'agit pas dans ce documentaire de nous désigner encore une fois les innocents et les coupables, les victimes et les bourreaux, nous intimant que, ouf, nous qui faisons aujourd'hui...
Par
le 26 sept. 2021
8 j'aime
1
