Bon roman dans sa globalité, le roman souffre a mon sens d’un manque de vitalité dans sa deuxième moitié. Il fourmille d’idées, de points de vue sur la révolution, les mots, de la socio au sens large qui font de ce livre un ouvrage d’une grande richesse. Peut etre un peu trop, l’intrigue se dilue trop dans la deuxième partie et la troisième est envoyée un peu vite, comme si Damasio avait un peu trop trainé et qu’il fallait se dépêcher de finir son verre avant la fermeture du bar (on fait les métaphores qu’on peut, désolé).