Une fois qu'on a commencé ce bouquin, on ne le pose pas avant de l'avoir terminé.
Dès les premières lignes, on s'attache à ce personnage si particulier et si extraordinaire qu'est Christopher.
On le suit dans son épopée et on tente de le comprendre, puis on se prend même à l'admirer.
On l'admire dans son génie, mais surtout dans son courage, dans sa capacité de dépassement de soi-même.
On commence presque à aimer les mathématiques grâce au regard nouveau qu'il nous offre.
On rit, on pleure et on oublie la réalité le temps de 300 pages.
On finit ce livre avec un nouveau regard sur le monde et sur les autres, sur la différence.
Et on le referme, avec l'envie de le ré-ouvrir.