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Kaboom's seven... Mdrrr !
Ouah ! Est-ce parce que je sortais d'un bouquin qui m'a été un relatif chemin de croix (La carte du temps...), mais celui-là, j'ai adoré ! D'entrée de jeu on est embarqué dans un tourbillon...
le 20 nov. 2014
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Prenez un univers space-opéra plutôt classique: un empire galactique plus ou moins décadent, des guildes influentes, des organisations criminelles s'étendant dans toute la voie lactée, des intelligences artificielles divinisées et tout le toutim.
Ajoutez la structure de Ocean's Eleven: sept individus exceptionnels, de la mercenaire survoltée à la séductrice implacable en passant par le hacker de génie et (forcément) la spécialiste tarée des explosifs.
Vous leur donnez une mission suicide remplie de coups fourrés: réussir un casse au sein d'un monde virtuel.
Et ajoutez à tout ça une structure temporelle pas toujours linéaire. Voire très dépendante de la perception du lecteur et des personnages. Bon, on va dire carrément dickienne par moment.
Et vous êtes partis pour le Casse du Continuum, trois cents pages d'aventures de haute volée. C'est fun, c'est intelligent, ça ne révolutionnera pas la SF mais c'est un très bon roman, qui se dévore et laisse pourtant à réfléchir.
Ajoutez la structure de Ocean's Eleven: sept individus exceptionnels, de la mercenaire survoltée à la séductrice implacable en passant par le hacker de génie et (forcément) la spécialiste tarée des explosifs.
Vous leur donnez une mission suicide remplie de coups fourrés: réussir un casse au sein d'un monde virtuel.
Et ajoutez à tout ça une structure temporelle pas toujours linéaire. Voire très dépendante de la perception du lecteur et des personnages. Bon, on va dire carrément dickienne par moment.
Et vous êtes partis pour le Casse du Continuum, trois cents pages d'aventures de haute volée. C'est fun, c'est intelligent, ça ne révolutionnera pas la SF mais c'est un très bon roman, qui se dévore et laisse pourtant à réfléchir.
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le 17 avr. 2014
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