Si la mythologie grecque vous passionne mais que vous trouvez que L’Iliade manque un peu de tendresse, Madeline Miller est là pour arranger ça. Avec Le Chant d’Achille, elle nous livre une romance antique, un peu comme si Netflix avait produit un préquel de Troie, mais avec moins de Brad Pitt et plus de feels.
Patrocle, le gentil garçon maudit, rencontre Achille, le mec parfait made in Olympus Industries, et bim : coup de foudre. Ensemble, ils grandissent, s’entraînent, partagent des moments de complicité (wink wink) et finissent en full drama mode quand la guerre de Troie entre dans la partie.
L’écriture est fluide, presque poétique, et donne une nouvelle dimension à ces figures mythiques. On tremble, on espère, on sait que ça va mal finir (spoiler : c'est une tragédie grecque, évidemment que ça finit mal), mais on ne peut pas s’empêcher d’y croire.
Bref, Le Chant d’Achille, c’est un slow-burn émotionnel entre muscles divins, destin tragique et amour impossible. À lire avec un paquet de mouchoirs, et peut-être une toge pour l’ambiance.