Pour ceux qui n'auraient pas lu ce livre, vous devez savoir que ce roman est incomplet puisqu'il manque carrément le dernier chapitre de l'histoire ! Il se trouve sur internet, sur le site de l'éditeur...
Pour ceux qui, comme moi, avez galéré à le trouver, le voici à cette adresse.
D'abord, j'ai galéré à le trouver, tout simplement parce que l'adresse du site qu'ils donnent est fausse. Il est écrit ".com" alors que c'est ".fr". Ensuite, même lorsque j'étais sur le bon site, il m'a été impossible de trouver cette fichue fin. Finalement, une bonne recherche "le chaperon rouge dernier chapitre" a été largement plus fructueuse. J'ai pu lire le dernier chapitre d'un bouquin sur mon téléphone, à me crever les yeux au beau milieu de la nuit sur de minuscules caractères.
Peu avant ça, j'étais dans mon lit, et j'étais contente de voir que j'approchais de la fin parce que j'étais fatiguée, mais mon envie de finir le livre pour terminer ma journée sur une note heureuse ou sombre était plus forte. Et là, en tombant sur une fin hyper vague et en ayant compris qu'il y en aurait plus sur internet, j'ai dû me relever, chercher après cette fin introuvable, qui m'a définitivement fait haïr ce maudit bouquin, cette maudite auteure pour cette maudite idée d'OBLIGER le lecteur à aller sur le site, pour qu'il voit tous ces autres bouquins alléchants qu'il pourrait éventuellement acheter. Super marketing, merci pour cette idée pire que révolutionnaire !
Au niveau de l'histoire, ça va, j'ai bien aimé mais sans plus. Le suspense est bien là, on est suspicieux tout au long du livre, on peut vraiment croire que le Loup est n'importe qui, ce qui m'a fait pensé au jeu du Loup-Garou, où chaque villageois se soupçonne. C'est vraiment le fait de lire la fin sur internet qui m'a soulé. Surtout que, comme une internaute a également dit, la fin n'est pas en accord avec les dernières pages du livre. Et ce qui me révolte, c'est que d'autres gens ont vraiment cru que les dernières pages du livre marquaient la fin, et n'ont donc pas eu connaissance de la véritable fin. Et je ne parle même pas des gens qui n'ont pas accès à internet.