On nous avait vendu cet ouvrage comme un chef d'oeuvre.
Si l'introduction littéraire est virtuose dans la description de l'attentat et du vol du tableau, malheureusement le reste est lourd, répétitif et roboratif.
On décroche malheureusement tant l'auteur prend un malin plaisir à sur décrire des banalités qui tuent le rythme de l'ouvrage. On se perd en route malgré les pics narratifs importants de la vie de Théo (le héros) et j'avais de plus en plus de mal au fur et à mesure que les pages contenaient des paragraphes de plus en plus longs et sans grand intérêt narratifs si ce n'est permettre à l'auteur de s'attarder encore et encore sur des lourdeurs éprouvantes de style et de ton et sur la consommation d'alcool et de drogue d'une certaine jeunesse américaine .
Bref, c'est long et fatigant au fur et à mesure que l'on avance dans la lecture... Les dernières pages sont interminables.