Evadé un jour, prisonnier toujours.
Un incontournable de la littérature française, disait-on. J'ai pourtant mis du temps à y venir (trop de pages, trop de "c'est à lire"...) Le plus triste étant probablement que c'est la série télé (avec Depardieu !) qui m'y a amené. Hum... Mais non, en fait, c'est tant mieux. Tant mieux parce que ce livre est un tourbillon incroyable, dont on en voudrait pas s'échapper. Certes, les première pages ne sont pas très digestes... Puis, passé cet "adoubement" de Dumas, on découvre l'univers d'Edmond Dantès, le bien nommé. Toute vengeance, fut-elle shakespearienne, me semble pâle aujourd'hui au regard de celle de la sienne ("Dieu aime les gens méchant car il en fait les instruments de sa vengeance"). Difficile de se décoller de ce bouquin quand on a passé le Château d'If.
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