Aïe, aïe, aïe

Je n'avais jamais lu de livres de ce Monsieur. En un mot, pour ce que j'en connais, et j'avoue bien humblement que je suis un drôle de paroissien, s'il me semble nécessaire de s'aimer soi-même (un minimum) pour aimer les autres, et suivre les préceptes du petit Jésus... A l'inverse, passer 200 pages à parler de soi pour dire à quel point on aime le bon Dieu et à quel point le bon Dieu nous aime et ce en faisant abstraction du reste de l'humanité sauf s'ils portent le blanc, la pourpre ou à minima font parti du cénacle d'une intelligentsia littéraire me semble pour le moins hérétique.

Restons droits, allez chercher les fagots et qu'en en finisse, purifiez moi tout ça par le feu!

PS : je trouve que c'est super mal écrit, désolé j'étais en train de lire la Garde Blanche quand j'ai lu ce bouquin, ça m'a quand même bien fait rire, il y quelques pépites, j'ai adoré ; un exemple :

il me fige, il m'irradie, il m'ausculte, il me transperce, c'est au fameux je le vis, je rougis, je pâlis, l'hommage du touché rectal à l'aveu...et y a en pleins dans le style, je suis certain qu'il a caché des contrepèteries un peu partout.