de la belle littérature
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Le tome précédent m’avait agacé. Et celui d’avant également de mémoire. J’avais ainsi perdu l’espoir de revoir le style du premier time, que j’avais dévoré. Que nenni, Pierre est de retour.
Peut être est ce ma mémoire, certainement même, mais j’ai dû attendre la fin du roman pour comprendre le lien avec les précédents. Ça aurait pu être un point négatif si je m’étais torturé l’esprit pour trouver le lien, mais j’ai en fin de compte tourner les pages avec une extrême rapidité. Une écriture fluide et dynamique, une ou plutôt des histoires captivantes, des personnages plutôt attachants. Seul bémol : les dialogues par moment, que je trouve un peu en deçà du reste. Alors ce n’est pas non plus le roman de l’année pour moi, mais cela reste une œuvre solide qui se démarque de sa série.
Il me semble qu’il avait pour projet de se limiter à 4 tomes, me voila donc arriver au bout. C’est dommage car il y avait certainement matière à continuer. Tant pis, je retournerai à mes Rougon Macquart préférés !
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