355, c'est le nombres de pages qu'il a fallut lire avant que le livre passe d'ennuyant à passable. Avant ça, l'histoire comme les personnages sont insipides ( mention spéciale à Camilla qui a autant de charisme qu'une moule ).
Dans la première partie ( qu'on peut surnommer le "calvaire" ), l'auteur y décrit la vie étudiante ( horriblement cliché ) à travers les yeux du personnages de Richard Papen. D'ailleurs, parlons-en de Richard. D'habitude avec les récits à la première personne, on s'attache vite au personnage, et bien là, non. On dirait que ce personnage est une coquille vide qui passe son temps à boire et prendre des somnifères. On ne peut donc pas compter sur le narrateur pour nous divertir. Quid des autres personnages ? Pareil. Rien, le néant. Donc pour résumer, la première partie est aussi intéressante que de regarder une salade verte pendant une journée entière.
La seconde est moins laborieuse à lire, mais loin d'être addictive . Certains personnages se réveillent enfin ( quoique pas tout de suite ) et on finit même par aimer la fin.
Oui mais voilà, le problème avec ce livre est que seulement 200 pages valent le coup, le reste pourrait être raccourci. C'est donc avec soulagement et la certitude que je l'aurais oublié dans un mois que j'ai refermé ce livre.