Conseillé par ma mère (oui, bon, ça va) il y a au moins 15 ans et finalement emprunté dans la bibliothèque familiale l'année dernière (dans une édition prestige, "France Loisir", ça s'appelle), un soir de désœuvrement...

Le livre tient à la fois les promesses de la quatrième de couverture (on sait tout de suite qui à tué qui) et des critiques très positives (ça n'enlève rien au livre, qui reste un prenant).

La progression dans l'histoire jusqu'aux événements racontés dans le prologue est une longue et lente (mais c'est positif, comme remarque) montée en puissance de la tension entre les membres du petit groupe d'étudiants.

C'est psychologiquement très fin et bourré de non-dits sur les relations fluctuentes et de plus en plus malsaines entre les membres disparates d'un groupe qui commence flamboyant et finit misérable.

À lire si vous aimez les romans policiers et la littérature américaine en général. Moi qui lit (et relit) un peu toujours les mêmes auteurs, jusqu'à avoir épuisé leur œuvre, Donna Tartt est une de mes grosses révélations de 2009. Même pas 20 après, donc...
mperrien
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le 30 sept. 2010

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mperrien

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