Un prince fuit une épidémie dans une abbaye. Il s’y calfeutre et il mène une vie licencieuse basée sur la débauche.
Le style est des plus alanguissants, car l’écriture décrit excessivement le domaine. Le récit trouve une résonance prophétique aujourd’hui par ces élites déconnectées qui festoient fastueusement et abondamment pendant que les gens de peu souffrent d’une certaine maladie, cette nouvelle n’est pas sans rappeler la pandémie du Covid. On peut aussi faire un lien entre l’aveuglement des nantis face au réchauffement climatique. Mais la nouvelle paraît dire que personne n’est à l’abri. De plus, la sinistre horloge d’ébène semble nous rappeler l’inéluctabilité de la mort.