En complément de la critique de Matze
Je trouve dommage de conclure la critique sur cette image de souffle glacé: pour autant que Schopenhauer livre une pensée rigoureuse et, je trouve, encore novatrice (et légitimée par les sciences cognitives), c'est surtout très drôle. Arthur, à tirer sur tout ce qui bouge (je pense que c'était son objectif premier, je l'imagine très bien écrire en colère pour pester contre ceux qu'il considérait comme les imbéciles de son temps), Arthur donc écrit bien et entre deux phrases importantes pour la philosophie, c'est hilarant.