C'est un roman d'une densité à couper le souffle, débordant d'un vocabulaire qui ferait frémir jusqu'à François Rollin. L'atmosphère de l'histoire et son enquête haletante compensent largement les passages qui furent les moins accessibles pour ma petite culture.
Je déplore néanmoins les moments les plus trépident de l'enquête brutalement coupés par 27 pages sur l'apostolique Dolcinien ainsi que les paragraphes et citations en latin ou en allemand que l'édition n'a pas jugés utile de traduire.
Si je devais résumé en une phrase cette œuvre, rien ne me paraitrait plus approprié que le fameux
"Non reddere nimis operam ad hoc omnino affabulated locum qui servit nemo propositum, nisi ad commendandam cum a tactus humor quid a quote in aliena aut mortuus lingua potest pose, ut difficultas intellectus. Praesertim in loco, cuius contextus insinuat, quod illa verba sunt crucial uti."
également, mes respects aux traducteurs de cette œuvre.