The Paradise of Bachelors and the Tartarus of Maids
1855
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De 1853 à 1854, Melville, en proie à une profonde crise qui l'empêche de s'atteler à une oeuvre de longue haleine, fait paraître une douzaine de nouvelles dans des magazines. Rédigés à la même époque que Bartleby, les contes qui composent Le Paradis des célibataires en constituent le pendant enjoué. Jamais Melville ne s'est montré aussi libre que dans ces récits. Une étonnante allégresse les traverse, comme si l'auteur avait voulu se décharger un instant du poids du destin qui pèse... Voir plus
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Maudit Bic !
En maitre du « would prefer not to », et voyant que décidément les hommes étaient si peu concentrés qu’il leur faudrait encore cent ans pour comprendre qu’il était un des plus grands écrivains...
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le 15 déc. 2014
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