'La parfum de la Dame en noir' de Gaston LEROUX (1908) faisait parties des livres retrouvés et placé dans une pile à lire, à l'occasion. J'avais cette envie de le lire parce que le souvenir de 'la chambre jaune' était un souvenir d'enfance... Du parfum de l'enfance, je n'ai rien retrouvé qu'une écriture poussiéreuse qui n'a pas traversé le temps. Le Rouletabille est toujours aussi fort pour être bon mais le narrateur n'arrête pas de digresser, d'alourdir l'histoire d'une foule de récits inutiles et de justifier le décousu de son récit sous de fallacieux prétextes qui ne sont que du remplissage de vide, sans aucune nécessité! Content de l'avoir lu pour me confirmer que Gaston LEROUX n'a pas traversé le temps et est resté figé dans une écriture romanesque prévisible à souhait. Si, en brocante, vous voyez passez ce vieux livre datant de 1908, laissez-le bien de côté. Il ne vaut pas la prix de la poussière qu'il soulève quand on tourne ses pages.