Je retrouve là du Patrick Süskind comme j’en ai agréablement lu dans Le Parfum. J’ai toujours trouvé les pigeons adorables, drôles et mignons. Puis à travers ce court livre, j’en ai reçu une vision tout à fait différente ! L’auteur arrive à faire passer un petit animal du quotidien en bête parasite, sortie tout droit des Enfers. Une simple chose qui pourtant a beaucoup d’impact sur la vie du personnage principal, qui en devient quasiment fou.
Ce qui apparaît à travers les réactions excessives que Jonathan peut avoir face à des événements du quotidien.