Évocation poétique, entre la biographie et l'essai, du physicien quantique Werner Heisenberg, le Principe, ornementé du style tout en finesse de Ferrari, ne parvient cependant pas à transcender son sujet premier - les circonvolutions politiques douteuses d'un génie décrit comme froid et détaché.
Au delà de cette première lecture, variation faustienne, se greffe des thèmes comme l’histoire, la science, et bien évidemment le temps.
L'impression persistante reste qu'en refermant le Principe, on a le sentiment d'avoir lu un texte à la fois trop court et trop long à la fois.
Principe incertitude, hein Werner ?