Pas facile de passer après les saisons de Maurice Pons dès que je commence la lecture je me rends compte de tout les similarités et des redondance. C'est pareil mais en moins bien le village la singularité du narrateur si pour le coup appartient à moitié au village l'opposition entre le reste du village et lui. Et question de l'appartenance et de l'opposition qui apparaissent. Mettre sont les types de côté pour ne pas devenir la prochaine cible du village. Images tout de même extrêmement fortes. Cahors, les chevaux dans l'eau. L'eireignes. Une recherche sémantique avec beaucoup de racines j'imagine alsacienne mais allemande. Un dialecte créer et emprunter qui donne une valeur concrète au récit de brodeck.
L'entremêlement avec la seconde Guerre mondiale et la shoah donne une valeur ajoutée au récit en trop des poupées de mémoire et du rapport officiel. Ce fut une bonne lecture inspiré notamment après la lecture de l'ouvrage de Manu larcenet dont je n'ai lu que le premier tome mais qui m'avait donné envie de lire l' œuvre originale de Philippe Claudel. Un peu de mal à tout lire dans une continuité mais une expérience de lecture ok.
La description de l'anderer, l'étranger est particulièrement précise et poignante vis-à-vis de son sort il restera marqué dans mon esprit.