Titre racoleur, J.Ferrari compare un bistrot Corse à la chute de l’Empire Romain.
Le style est lourd, avec des phrases surfaites qui n’en finissent plus. Même l’intrigue fait défault. Pas facile de parler pendant 200 pages d’un bistrot Corse, même avec la présence de serveuses dociles. J.Ferrari se sent donc obligé de parler du passé du grand père, ou des errances de la soeur, autant de petites intrigues trop légères, longue et d’un ennui profond.
Bref, une philosophie de comptoir à l'écriture pompeuse.
Une fois le livre refermé, j’ai comme une grosse impression d’avoir perdu mon temps.