Est-ce qu'on peut critiquer un livre qu'on ne fini pas ? Ca en dit quand même long sur l'intérêt du livre... Au début, il était franchement bien, l'histoire de ces rêves étranges que Caroline Klein fait la nuit, sa façon d'initier son fils, Jacques, j'ai trouvé ça très intéressant. Et puis, à la moitié, le livre change de cap, s'éloigne de tous ces points, et m'a totalement perdue... au point que je n'ai pas envie de savoir où ça mènera finalement. J'espère que les prochains avis me permettront de savoir si j'ai raté, ou non, quelque chose.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Lectures de 2015
Créée
le 11 oct. 2015
Critique lue 1.1K fois
2 j'aime
D'autres avis sur Le Sixième Sommeil
Cela fait quelques temps que j'étais un peu fâché contre Bernard Werber : ses derniers romans étaient à mon sens trop nombrilistes, pas très bien écrits, pas intéressants, les intrigues étaient...
Par
le 13 oct. 2015
6 j'aime
4
Après des années à attendre d'être lu dans ma bibliothèque, je me suis enfin décidé, par défaut, à entamer ce roman sans savoir où je mettais les yeux. De plus, il n'y a pas de résumé en 4e de...
Par
le 18 sept. 2022
5 j'aime
2
Jacques Klein est visité par une version futuriste de lui-même qui lui somme d’aller en Malaisie secourir sa mère.Bernard Werber a habituellement beaucoup de mal à étrenner, il utilise sans cesse les...
Par
le 7 sept. 2023
4 j'aime
Du même critique
C'est à l'occasion d'une escapade dans les locaux de l'Ecole des Loisirs que j'ai pu découvrir ce livre. J'en avais vaguement entendu parler, mais jamais je n'aurais mis la main dessus, si justement...
Par
le 21 févr. 2017
5 j'aime
A l'annonce de cette série, je m'étais dis que le format allait permettre de développer tout ce qui avait été passé sous silence dans le film. C'était l'occasion rêvée de faire mieux, de faire...
Par
le 17 janv. 2016
5 j'aime
Ce livre va vous donner envie d'enfiler des chaussons trop serrés, de saigner des doigts, d'avoir tous les muscles du corps qui brûlent et d'aller gravir des big walls d'une vingtaine de longueurs...
Par
le 26 juin 2018
4 j'aime
