Mon histoire d’amour livresque avec Bernard Werber a commencé en 1991 avec les fourmis, je rentrais dans l’adolescence et avec ses fourmis, il me fit découvrir le monde de l’infiniment petit. Et presque chaque année depuis ce moment, il m’a entrainé dans des mondes que je ne soupçonnais même pas.
À croire qu’il le faisait exprès, il aiguisa ma curiosité avec son encyclopédie du savoir relatif et absolue écrit par ce personnage que tous les lecteurs Werberiens connaissent Edmond Wells.
Cette année, il m’a entrainé dans le monde du rêve, n’étant pas un gros dormeur, bien que bon dormeur, je me suis plongé avec délectation dans cette nouvelle lecture. Le style est incontestablement Werberien, chaque chapitre fini en climax, mais plus une trace de l’encyclopédie qui était présente dans quasiment la totalité de son œuvre.
Fan de la première heure, je n’ai pu qu’aimer le sixième sommeil, mais je dois bien reconnaître que ce n’est pas forcément mon préféré.
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