J'ai finis « le Syndrome du spaghetti » de Marie Vareille que j'ai adoré.
En effet, l'histoire est très poignante avec les différents drames qui surgissent dans l'histoire. Dorénavant j'ai bien aimé l'histoire de Léa ainsi que de ses rencontres.
On a pu remarquer qu'elle ne voulait pas se retrouver face à la réalité. Quand son père est mort, elle a voulu noyer tout son chagrin. Continuer le basket qui lui était devenue interdit à cause du syndrome de Malfran, qui avait causer la mort de son père et qui toucher également sa soeur Anaïs. Anthony, le beau basketteur de Val-Fleury rencontre Léa la fille de riche de Paris. La passion du basket les rassemble. Ça va même plus loin, un amour fou les rassemble. Mais Léa lui ment, elle ne lui parle pas de la mort de son père, de son interdiction de jouer du basket et des bêtabloquants qu'elle ne prend pas. Elle vie un rêve. Malheureusement le rêve ne peut pas être éternel car la maladie guette. Elle est moins importante pour Léa que pour sa soeur Anaïs qui doit se faire opéré. La relation difficile entre les deux soeurs évolue au fil de l'histoire, les petites filles qui s'adoré petite, puis qui se détesté actuellement recommencé à se comprendre.
L'histoire est très poignante. Pour une jeune fille qui vivait son rêve, tout perdre du jour au lendemain lui est impossible. Elle ne veut pas y croire, veut continuer à se mentir a elle-même.
Une maladie rare mais très néfaste pour sa passion "le basket".
C'est une histoire que j'ai adoré et que je conseille mais a eviter pour les personnes trop sensible !