Le système Victoria
Après avoir découvert l’écriture d’Eric Reinhardt avec L’amour et les forêts, Le système Victoria nous invite à la rencontre de personnages passionnés et douloureusement amoureux. Un système fragile...
le 10 nov. 2015
2 j'aime
J'ai aimé que le personnage principal soit directeur de travaux sur le chantier d'une tour immense à La Défense (la description de ce milieu est aussi détaillée que réaliste), ainsi que le récit de ses jeunes années (ses premiers pas à Paris, ses rêves d'architecte), sa relation avec sa femme malade, la tension érotique grandissante avec sa maîtresse, le suspense entourant la mort annoncée très tôt de cette dernière.
Mais j'ai trouvé le style trop uniforme (tous les personnages parlent de la même façon), parfois incohérent (des propos non entendus directement par le narrateur mais rapportés avec une précision extrême) et trop intellectualisant (il a une fâcheuse tendance à tout analyser, surinterpréter, et à souvent dire de façon très alambiquée des choses très simples).
Créée
le 6 avr. 2016
Critique lue 423 fois
D'autres avis sur Le Système Victoria
Après avoir découvert l’écriture d’Eric Reinhardt avec L’amour et les forêts, Le système Victoria nous invite à la rencontre de personnages passionnés et douloureusement amoureux. Un système fragile...
le 10 nov. 2015
2 j'aime
Dérangeant mais fascinant dans la présentation du pouvoir et de la séduction selon Eric Reinhardt. Amour, gloire et puissance ! Pourtant reste un goût trop amer à la lecture de ce désastre annoncé...
Par
le 1 avr. 2013
2 j'aime
Un cran en dessous du précédent opus (Cendrillon). Mais on retrouve ici avec bonheur la maestria avec laquelle Eric Reinhardt plonge son lecteur dans la vie décousue de ses héros, en utilisant avec...
Par
le 19 avr. 2013
2 j'aime
Du même critique
Deux jours avant la sortie des Femmes au balcon, j'ai assisté à une avant-première suivie d'un débat avec Noémie Merlant, Sanda Codreanu (à l'affiche, et créditée comme ayant participé au scénario)...
Par
le 13 déc. 2024
64 j'aime
6
La Rochelle, 26 juin. Jour de mon anniversaire et de l'avant-première de Au revoir là-haut en présence d'Albert Dupontel. Lorsqu'il entre dans la salle à la fin de la projection, le public...
Par
le 27 juin 2017
54 j'aime
4
Je n'accorde habituellement que très peu de crédit au vieux débat clivant qui oppose bêtement cinéma populaire et cinéma d'auteur (comme si les deux étaient deux genres définitivement distincts et...
Par
le 27 mars 2018
50 j'aime
19