Une belle écriture fluide. Sans misérabilisme ni pédantisme, l'auteur tente de montrer que la culture, les mots peuvent colmater les brèches d’une société qui se divise.
Je me permets de recopier cet extrait du monde des livres: je ne saurais mieux dire
« Toutes les nouvelles explorent, rendent sensibles, et mettent en lumière les failles et les frontières pas si invisibles qui parcourent les sociétés et séparent les hommes. « Je voudrais bien voir la clause du testament d’Adam qui m’exclut du partage du monde Les personnages de Jean-François Haas sont toujours aux marges du monde, qu’ils en soient exclus, qu’ils choisissent de prendre la tangente, ou que leur trajectoire de transfuge de classe les rende plus attentifs aux violences symboliques que le « partage du monde » autorise »