Il a la dalle son Martin Eden de Rubempré, avec Zweig dans ses meilleures heures (ne pas vouloir ken la femme de son boss challenge). Avec la confusion des sentiments dans le crâne, on se dit dès le début que ça va pécho le mari dans les dernières pages. Eh non en fait le croulant rend l’âme trop rapidement cette fois. Relation bien cheloue entre les deux : qui vit chez son maitre de stage de fin d’étude ? Ou bien son directeur de thèse, ça serait plus cohérent ? Et la méga douille de l’envoyer en visiting de l’enfer à compter les cailloux. Après bon ouin ouin je passe la guerre entre startupers à Cancun pour faire des cérémonies du cacao et pas à Verdun ouin ouin eh gros sayer. Ok vous êtes attachants avec vos passions folles qui s’usent dans le temps mais faut pas forcer non plus. Bon le move est compliqué, et les conflits passés et à venir qui vont constamment les séparer, c’est fort. Belle fin comme d’hab, la guerre a tout ravagé.