Le site est de retour en ligne. Cependant, nous effectuons encore des tests et il est possible que le site soit instable durant les prochaines heures. 🙏
Sade décrit quatre salauds vicieux, dégueux, et prêts à toutes les horreurs pourvu quelles les fassent jouir aux dépens de leurs pauvres victimes. L'horreur va crescendo et les portraits de ces salopards sont plutôt réussis, mais Sade se répète bien trop au fil des pages et les horreurs vont tellement loin dans l'imagination infernale que le livre devient très vite lourd car répétitif et dégueulasse. De loin le livre le plus abominablement gore et crade jamais écrit et qui ne sera jamais dépassé dans l'horreur. Mais bon mieux vaut "La philosophie dans le boudoir" pour juger du talent de plume du marquis.
Créée
le 23 avr. 2014
Critique lue 1.1K fois
4 j'aime
1 commentaire
D'autres avis sur Les 120 journées de Sodome
Je ne mets pas 10 à ce livre parce que je l'ai aimé. Bien au contraire. Il y a quelque chose de fascinant, aussi bien dans les descriptions cliniques et presque ennuyeuses de la première partie que...
Par
le 1 juil. 2010
26 j'aime
4
Les voilà achevées ces 120 journées de Sodome, on vient d'y mettre fin en me laissant un goût d'inénarrable saletés et de meurtres dans le fond de la gorge. Comment trouver les mots à présent... Je...
Par
le 24 nov. 2016
15 j'aime
6
Bon, quand je me suis lancé dans ce livre, j'avais envie de découvrir un auteur dont on parle parfois sans jamais l'avoir lu, et voir un peu ce dont le "divin marquis" était l'auteur. Je savais que...
Par
le 28 mars 2013
13 j'aime
2
Du même critique
L'ami James Wan confirme avec sa seconde incursion dans le domaine de la maison hantée qu'il est l'un des meilleur réalisateur de série B depuis la pré-retraite méritée de Carpenter. La mise en...
Par
le 26 juil. 2013
16 j'aime
7
Ce qu'il y a de rassurant avec Luc Besson, c'est qu'il est constant dans la médiocrité et qu'il tend parfois à la nullité sublime (voir l'abominable Jeanne d'Arc). Cette fois l'ami Luc (peut-être...
Par
le 23 sept. 2013
15 j'aime
19
Infinite commence comme un blockbusters très con, mais plutôt bien mise en scène (Fuqua est un yes man mais un yes man avec du talent (voir Training Day et le premier Equalizer). On ne comprend pas...
Par
le 16 juin 2021
10 j'aime
2
