Dans l'actualité

Dans ce dernier recueil de nouvelles (cinq pour être précis) Éric-Emmanuel Schmitt parle d’Amour, de sentiments inavoués.
Des cinq nouvelles présentes dans ce livre, mes préférés pour des raisons différentes sont les deux messieurs de Bruxelles et l’Enfant fantôme, j’ai aussi beaucoup aimé Un cœur sous les cendres.
Je ne ferais pas un résumé de chacune d’elles car pour cela je vous laisse découvrir les livres.
Cependant, je reviendrai sur la première histoire, Les deux messieurs de Bruxelles (qui est aussi le nom de l’ouvrage), Éric-Emmanuel Schmitt, il est question de vies en parallèles, un couple d’homme nanties, qui par le hasard d’un mariage suivent dans l’ombre la vie de Geneviève Grenier. Il est parfois drôle de voir le parallélisme entre le contexte de la société dans laquelle nous vivons et un roman, aujourd’hui que la France manifeste contre le mariage homosexuel, Éric-Emmanuel Schmitt, nous propose de découvrir la vie d’un couple homosexuel, qui se sont marié ou presque, au hasard d’une église.
La deuxième histoire qui m’a touché, est l’enfant fantôme car on fini par se poser la question que ferions-nous dans la même situation, et je dois reconnaître que je fus bien incapable de savoir ce que j’aurais fait dans la même situation. Que feriez-vous, si vous appreniez que votre futur enfant sera atteint d’une maladie grave ? Le garder ou bien avorter ? La décision prise par le couple de cette histoire finira par détruire leur histoire. Mais lequel des deux choix est le plus égoïste, pour ma part je ne serai quoi répondre.