Les machines de Dieu par Chimere

La science fiction n'est pas toujours écrit avec style et panache mais en générale l'écriture simple s'il n'avive pas le récit, ne l'entache pas non plus.
La science fiction ne fourmille pas toujours d'idées à chaque page mais un ou deux "et si..." cosmique suffit pour lancer ce qui va devenir avant tout un récit d'aventure.

Ici le récit aurait facilement put être une nouvelle de quelques pages, tout le remplissage dépend donc du talent de l'auteur qui le remplie de pensée vagabonde et de réflexion comme Henri Miller ou SAN-Antonio, ou d'une description neutre et extérieur d'un univers original et exotique comme Jack Vance. Maintenant imaginé des descriptions banals, des émotions et sentiments sans intérêts, par exemple vous allez à la bibliothèque et vous décrivez la rue tout simplement , trottoirs routes portes, des gens qui sourient, tiens j'ai faim , je mangerai un pain au chocolat, c'est un pâte de blé cuite avec du chocolat dedans qui viens du cacao ... tout le livre est comme ça ... je suis que le petit chaperon rouge en trois sans pages peut être génial si l'auteur derrière ... mais la non , pas avec cette auteur. Et vue qu(il y a pas trente six questions mais que un et demie "et si..." le suspens n'est pas à son comble.

Bref c'est trop long et il ne se passe rien.

Remarque : j'ai bien aimé (façon de parler) les personnages qui sont tous médiocres faibles il n'y a pas de vrai héros.

La suite (Deepsix) est encore pire