J’ai dû m’accrocher au début. J’ai pensé à abandonner. J’avoue que les cent premières pages m’ont paru longues. Le décor est intrigant, notamment le japon médiéval dépeint par l’auteure. Hikari est un kami, une déesse renarde. Ses sœurs et elle sont des divinités, difficilement atteignables. Pour la (e) lectrice (eur), c’est compliqué de s’identifier à elles. Elles sont émotionnellement froides, voire glaçantes. Je n’aimerais pas avoir des déesses pareilles pour me protéger. Cette distance émotionnelle sert et dessert parce qu’Hikari ne m’a pas plu tout de suite. J’ai mis énormément de temps à m’attacher, mais plus son histoire avançait et plus elle se faisait critique et plus elle se liait à ses humains tout en ayant du mal à laisser son éducation de côté.
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